« Penser à penser ???, tu n’y penses pas !!! »
Luc de Brabandere, ingénieur-philosophe du XXIème siècle.
car
« penser … c’est dé-ranger les idées »
Mark Raison, consultant-formateur international en créativité.
À onze ans j’étais l’intrépide entrepreneur de mes rêves mais aujourd’hui seuls les jeux et les dés me détendent d’activités effrénées.
Je reste ainsi titillé par ma dernière partie de scrabble inventif où j’ai assemblé « bitzuist ». 57 points en mot compte triple !
Selon mon compagnon de jeux, ce mot-là arrivera au galop dans la langue française tant il désigne une personne à laquelle l’Europe aspire.
Au pays de Tel Aviv – champion en innovation – bitzuist est un surnom admiratif du réalisateur de ses rêves secrets.
Le trait commun aux bitzuists de 17 à 97 ans est de croire avec acharnement à ce qu’ils font au point d’en devenir contagieux.
- Le bitzuist de 17 ans monte une fête mémorable avec les moyens du bord, il choisit des études qui le propulseront vers les métiers nouveaux du XXIème siècle.
- Un autre – de 24 ans – buzze à toute la planète une chanson mémorable, il devient un enseignant passionnant ou lance une start up avec des associés.
- Un troisième – à 35 ans – contribue au bonheur de sa famille tout en montant discrètement un projet humanitaire international.
- Un quatrième – à 50 ans et plus – convertit une expérience professionnelle en nouveau job à sa mesure.
- Le bitzuist d’au moins 80 ans sélectionne ses activités et déguste le monde avec sagesse.
Le bitzuist atteint ses objectifs parce qu’il n’est pas empêtré dans un fatras de freins mentaux.
Sa tête, son cœur, ses mains travaillent à l’unisson et il s’amuse toute la journée ! Souvent même il rend son entourage heureux.
Il a de la chance car il crée ses chances. Il n’attend pas que les autres ou « le système » les lui apporte.
C’est un battant. Son oui est oui et son non est non.
… Est-il ma chance pour m’extraire du ras le bol ?